Aujourd’hui, comme hier, le fascisme tue.
le 10 juin 2013
Clément Meric est mort mercredi sous les coups d’une bande de nervis nazis. Nos pensées vont aux parents, aux amis et aux militants qui côtoyaient Clément Meric. Sa mort doit résonner comme un signal d’alarme pour tous les démocrates que nous sommes : ce meurtre politique nous rappelle à quel point la démocratie reste fragile. Elle se fragilise d’autant plus en tolérant les prises de positions publiques d’une extrème droite qui a montré à cette occasion le vrai visage de son projet politique, la mort, l’élimination physique de tous ses opposants.
SLR appelle l’ensemble des forces démocratiques à se battre sans relâche pour interdire aux héritiers des heures les plus sombres de notre histoire de parader dans nos rues et sur nos réseaux et d’y répandre leur venin.