réactions à l'article «Sauvons-la-recherche : ce que nous voulons»
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> Sauvons-la-recherche : ce que nous voulons
1er avril 2005, par Daniel Corcos
Le brouillon de la LOPRI est effectivement éloigné des conclusions des Etats Généraux. Mais le texte intitulé " Sauvons-la-recherche : ce que nous voulons " en diffère dangereusement : je ne pense pas avoir voté aux EG un texte où il était question d’une pénurie de chercheurs. J’ai écrit ailleurs ce que je pensais de cette " pénurie " (réponse à l’article " la recherche refuse l’euthanasie" : http://recherche-en-danger.apinc.or... ).
Faire appel à la notion de pénurie, c’est faire offense aux jeunes chercheurs qui attendent que notre système ait enfin besoin d’eux et sont prêts à répondre.
C’est ignorer délibérément le rapport Futuris (auquel ont contribué certains chercheurs), qui ne conclut pas à la survenue d’une demande accrue liée aux départs à la retraite dans le secteur public.
C’est mettre le gouvernement dans une situation impossible, car il n’est pas possible de continuer, sans doubler le budget de la recherche, à former des doctorants payés correctement dont les seuls débouchés sont le secteur public.
C’est finalement, pour maintenir le statu-quo dans certains laboratoires, mettre en péril la possibilité de trouver un accord entre les désirs des chercheurs tels qu’ils se sont exprimés aux EG et les possibilités budgétaires du gouvernement. -
> Sauvons-la-recherche : ce que nous voulons
1er avril 2005, par LORENTZ Bruno
bonjour,
La puissance publique doit très vite mettre de l’argent dans le système de recherche public
(appliqué et fondamental) ;
lisez le dernier numéro de la revue Capital sur la Recherche dans le monde : vous comprendrez
que la plupart des grandes entreprises occidentales installent de plus en plus leurs centres
de recherche en Asie ou en Inde où les salaires sont beaucoup moins élevés qu’ici. donc pas en France.Conclusion : si l’Etat ne garantit pas un financement public pérenne à moyen terme , il n’y aura
peut-être plus du tout de Recherche Privée et Publique solide en France dans quelques années.cordialement
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> Sauvons-la-recherche : ce que nous voulons
31 mars 2005, par Marc Arabyan
A la différence des sciences dures, les sciences humaines produisent un savoir immédiatement utile (par exemple, l’expertise suivie de conseil stratégique, géopolitique et culturel qui ont permis à la France de ne pas envoyer de troupes en Irak au côté des Américains), or, curieusement le projet du gouvernement tend à réduire les moyens en la matière. Sans vouloir diviser, peut-on pas dire un mot en particulier à leur sujet pour éviter la disparition prévisible à terme de secteurs entiers de la recherche en lettres, langues et SHS ?
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> Sauvons-la-recherche : ce que nous voulons
24 mars 2005, par Jean-Louis Charpenteau
Quel est le statut de ce texte ? de qui est il signé ? a quoi doit il servir ?
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> Sauvons-la-recherche : ce que nous voulons
24 mars 2005, par christian berthier
"Ce que nous voulons" se heurte à ce que veut le gouvernement et dont la synthèse est la nomination du directeur de l’IFREMER, la non prise en compte de nos propositions, surtout celles concernant les statuts, la réduction de la précarité des étudiants et doctorants et le rôle croissant des grands groupes.
Comme c’est la mode, je me suis penché sur le projet de traité constitutionnel, section 9, articles III 248 à 255. Je suis fasciné comme le projet du gouvernement suit ces articles. Au point de me demander si ce n’est pas à Bruxelles que SLR devrait négocier. J’ai préparé une étude critique ligne par ligne de ce texte que je tiens à votre disposition en 4 pages.
Par ailleurs, le gouvernement a ses préférences sectorielles marquées : booster les sciences dures, doubler les programmes, direction EADS, Dassault, AREVA, SAFRAN, THALES, etc...flou sur le BIO-medico, au moins en sous et programmes, parceque pour les paroles, on est servi. Faut il attendre super-SANOFI quand l’agro-business décline pour faire vrombir nos séquenceurs. Quant à ce qui est ni dur ni bio, silence, on tourne !-
> Sauvons-la-recherche : ce que nous voulons
29 mars 2005, par Jean-Louis Charpenteau
je suis intéressé par ton étude de 4 pages
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> Sauvons-la-recherche : ce que nous voulons
31 mars 2005, par Marianne Faurobert
Je suis moi aussi intéressée par cette etude.
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> Sauvons-la-recherche : ce que nous voulons
7 avril 2005, par christian berthier
merci de me passer votre mail
cordialement
cb-
> Sauvons-la-recherche : ce que nous voulons
22 mars 2012, par OXqJTwnesUKEDLIOhKz
C’est bien beau qu’enfin on a un projet -de re9fe9rences senelmeut bien entendu pour ame9liorer et maintenir sur place des programmes qui vont pouvoir aider une meilleure inte9gration professionnelle des immigrants qualifie9s auQue9bec !Pour ce qui me concerne personnelement, je suis tre8s conscient de la situatiion actuelle que les immigrants affrontent durant les primie8res e9tapes de8s leur arrive9e- surtout ceaux qui sont plus qualifie9s. Bon, c’est ce que je voulais partager avec vous. J’espe8re qu’on restera en contact.Bonne chance et bon succe8s pour les nouveaux arrivants auQue9bec !Au plaisir de vous avoir contacte9s.Jose9 Reinaldo JuradoConseiller en information scolaire et professionnelleConseiller en employabilite9 et placementGestionnaire de ressourcer humainesIntervenant psychosocial
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> Sauvons-la-recherche : ce que nous voulons
1er avril 2005, par Daniel Beretz (daniel.beretz@cea.fr)
Je suis aussi preneur de ton analyse. Merci
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> Sauvons-la-recherche : ce que nous voulons
5 avril 2005, par Saguez Cyril
Je suis également très intéressé par cette analyse...
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> Sauvons-la-recherche : ce que nous voulons
10 mai 2005, par D. Perrin ( Lettres )
Pourrais-je également voir le 4 pages de parallèle entre la LOPRI et le Traité ?
Merci beaucoup (si je comprends bien, mon adresse est comprise dans mon envoi - ou serait-il possible de le trouver en ligne ?)
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> Statut de ce texte
1er avril 2005, par Alain Trautmann
Le texte "Ce que nous voulons" a été discuté et adopté par le collectif "Sauvons la Recherche". Il constitue, dans cette phase d’élaboration d’une Loi d’Orientation et de Programmation de la Recherche, un résumé actualisé des positions de SLR, telles qu’elles ont été exposées en détail dans le document des Etats Généraux.
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