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Les dérives de la recherche pilotée « d’en haut » : un témoignage à l’INRA
26 mars 2009
je suis tout à fait d’accord avec ceci, je suis CR1 à l’INRA dans le domaine de la santé animale et allant un peu à l’encontre des dirigeants, je suis en train de faire broyer !!! mais enfin, faut pas laisser les dérives s’installer sans rien dire. Clairement l’INRA est à un nveau bien au dessous des autres instituts..
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Les dérives de la recherche pilotée « d’en haut » : un témoignage à l’INRA
17 janvier 2007
Priere de contrer cet article et de demander plus de postes de fonctionnaires.
Un rapport critique
l’état de la recherche en FranceNOUVELOBS.COM | 16.01.2007 | 08:31
3 réactions
L’enquête a été réalisée à la demande des ministres de l’Economie et de l’Education nationale. Le constat ? "En dépit des mesures prises depuis la loi sur l’innovation et la recherche, de 1999, la valorisation de la recherche ne progresse pas en France depuis quinze ans".
Un rapport d’enquête sur la valorisation de la recherche dresse un bilan peu glorieux de la politique économique de la France en la matière, rapporte Le Monde, qui en a eu connaissance, dans son édition datée de mardi 16 janvier.
Réalisée par l’inspection générale des finances, et l’inspection générale de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche, à la demande des ministres de l’Economie et de l’Education nationale, l’enquête visait à dresser un bilan comparatif sur le sujet, les autres pays étudiés étant les Etats-Unis, l’Allemagne, le Royaume-Uni, la Belgique, le Japon et la Suisse.
Les premières lignes du document confidentiel sont ravageuses : "en dépit des mesures prises depuis la loi sur l’innovation et la recherche, de 1999, la valorisation de la recherche ne progresse pas en France depuis quinze ans", note le quotidien.Hausse de la dépense, stagnation des partenariats
Si la dépense publique de recherche augmente, il semblerait que cela soit à mauvais escient.
A ce titre, le volume des partenariats stagne. Or, le partage et la diffusion de connaissances qu’il engendre, entre laboratoires publics et entreprises, favorise le développement. 90% des contrats sont répartis entre 10% des laboratoires, souligne Le Monde et le Commissariat à l’énergie atomique (CEA), dont les performances en matière de valorisation sont louées tout au long du rapport de 200 pages, et les écoles d’ingénieurs, réunissent 69% des contrats, pour seulement 40% de la dépense de recherche.
De même, si les laboratoires publics déposent de plus en plus de brevets, cette démarche coûteuse n’a pas permis d’inverser le courant : le montant des redevances est en chute libre depuis 2001.
Le rythme de créations d’entreprises issues de la recherche publique, enfin, "a été multiplié par plus de trois entre le milieu des années 1990 et la période 1999-2002", mais leur développement est périlleux et c’est peu dire : "seules 8,5% des entreprises encore vivantes au bout de quatre ans ont un chiffre d’affaires de plus d’un million d’euros ou emploient plus de 20 salariés".10 propositions
Le rapport conclut par dix propositions, dont fait état Le Monde, tendant à de meilleurs résultats, sans requérir la moindre subvention supplémentaire.
Il conseille ainsi de développer la recherche par projet, d’accroître la taille et l’autonomie des universités, ou encore de mutualiser et de professionnaliser les structures de valorisation. Il recommande également de simplifier le financement des laboratoires de recherche publics, d’intéresser financièrement les chercheurs et leurs laboratoire aux résultats de la valorisation, mais aussi d’orienter les aides à la recherche vers les entreprises technologiques de taille moyenne. Enfin, le rapport officiel incite à soutenir les filiales des entreprises françaises ou étrangères qui ont des laboratoires de recherche autonomes en France, à imposer que les thèses soient financées sur fonds publics ou privés, à systématiser le label Carnot, et enfin, à supprimer les structures d’interface. -
Les dérives de la recherche pilotée « d’en haut » : un témoignage à l’INRA
21 décembre 2006
Les decisions strategiques de l’INRA voire les evaluations de chercheurs sont en effet tres souvent le resultat de copinages entre des responsables eux-memes cooptes. Ce qui manque : c’est la participation de chercheurs etrangers, exterieurs aux luttes de clans, qui donneraient plus d’importance au vrai travail scientifique.
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Les dérives de la recherche pilotée « d’en haut » : un témoignage à l’INRA
30 novembre 2006, par ADIRE FRANCE
bonjour, PEXL
Je suis entièrement d’accord avec votre analyse sur une situation générale catastrophique du système.
Mais le problème est beaucoup plus profond, comme je l’ai dit à plusieurs reprises, le système est totalement "vérolé". Ceux qui vous dirigent ont été mis en place dans le seul but de gérer les "Cerveaux" et de les "verrouiller". Ils sont, soit des copains ou copines de tel ou telle dirigeant(e) soit ils appartiennent à une "Famille"(politique, syndicale, ou franc-maçonne).Je vous laisse le soin de lire mes differentes réactions sur plusieurs articles écrits par vos conféres( ex:Qu’en est-il de l’unité de la Recherche ?Existe-il une unité dans l’Enseignement Superieur ?). La question est,et je cite " Qui est qui ? qui fait quoi ? et pour qui ?
Il est temps de prendre des décisions et de ne plus attendre des promesses qui ne seront jamais tenues et pour cause, 2000 Milliards d’Euros de dette (avouée ?peut-être plus).
cordialement
Marc SALFATI
Président de l’ADIRE FRANCE