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Accueil / Réformes universitaires / Lancement des assises de l’enseignement supérieur et de la recherche

réactions à l'article «Lancement des assises de l’enseignement supérieur et de la recherche»

  • Proposer ou jouer les pleureuses ?

    25 juin 2007, par Jip

    Le programme proposé est complètement inadapté au calendrier politique
    1) Parce que la question à l’ordre du jour n’est plus celle du diagnostic
    2) Parce que n’avoir comme position que la revendication de moyens supplèmentaires à structures identiques n’est pas une position défendable.

    Quelles sont les réformes proposées par SLR ? A défaut d’une réponse précise à cette question, SLR perdra tout le crédit qu’elle a acquis dans les combats précédents et connaîtra une défaite complète.

    L’objectif est-il de jouer les pleureuses, comme son homologue britannique qui a dénoncé pendant dix ans les réformes de Mme Thatcher ? L’ennui est qu’au bout de ces dix ans le monde entier, notamment le classement de Shanghai, a reconnu que ces réformes douloureuses avaient dopé qualitativement la recherche au Royaume-Uni.

  • Lancement des assises de l’enseignement supérieur et de la recherche

    22 juin 2007, par Orsay

    J’ai l’impression de déjà vu ...

    Assises, concertation, grandes idées, doctes débats, rédaction d’un épais rapport ....

    Mais qu’est devenu le texte des Etats Généraux de la Recherche, fruit d’un long travail de réflexion et de concertation ? Passé aux oubliettes ? Déjà obsolète, moins de 3 ans après ? Et pour quel résultat ?

    Discutons, réfléchissons, d’autres décident ...

  • Lancement des assises de l’enseignement supérieur et de la recherche

    7 juin 2007

    Autonomie des universités, réforme de l’enseignement supérieur et de la Recherche, financement et donc pilotage de la Recherche par l’ANR ... organismes de recherche = agence de moyens ... Et les signataires du lancement des assises croient (ou essayent de nous faire croire) que le dialogue est possible avec le gouvernement !!! Encore une fois allons nous "partager le diagnostic" ... pour arriver à une « réforme libérale » de l’enseignement supérieur et de la Recherche ? Comme vous le dites dans un autre article « attention, un train peut en cacher un autre » donc attention le mot réforme peut cacher bien des attaques ! Au minimum soyons vigilants … notre naïveté (ou notre lâcheté ?) serait la pire des choses pour les générations qui nous suivent.

  • Lancement des assises de l’enseignement supérieur et de la recherche

    7 juin 2007, par jean Chaline Dijon

    Vous refaites des assises de la recherche et de l’ENS, alors à quoi ont servi toutes les réunions et assises des deux années précédentes ? A rien apparememnt si aucun programme et orientation n’en est tiré… Quel gachis de temps perdu…

  • Lancement des assises de l’enseignement supérieur et de la recherche

    7 juin 2007

    Tout a fait d’accord avec votre analyse. "Autonomie" recouvre au moins autant de sens que d’interlocuteurs et l’on pourrait ranger dans la meme catégorie les termes de "compétitivité", "modernisation", "bonne gouvernance" ...

    Définissons les objectifs avant de définir les moyens d’y arriver.

    Malheureusement, je pense que les objectifs sont d’ors et déja clairement définis dans l’esprit de nos gouvernants.
    cordialement
    yann

  • Lancement des assises de l’enseignement supérieur et de la recherche

    7 juin 2007, par teresa mariano longo maitre de conférence université UPJV Amiens

    Dans votre document pour les Assises, je ne trouve pas un thème important à discuter : la science et la culture developpées et transmises à l’Université.On ne peut pas parler de réussite, de démocratisation, de fonctionnement et de rapport au marché du travail oubliant les contenus d’enseignement. L’université française présente des situations dans lesquelles les programmes sont très pauvres. Elles risquent de disparaître dans la compétition du marché ou de continuer fonctionner comme institutions de série B. Les diplômes ici délivrés ont déjà moins de valeur sur le marché du travail.
    Que pensons-nous de la « libéralisation » totale des curricula universitaires et de la philosophie néolibérale de la science et de la culture ?