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Accueil / Réformes universitaires / Motions votées par les conseils universitaires

réactions à l'article «Motions votées par les conseils universitaires»

  • Motions votées par les conseils universitaires

    8 octobre 2008, par A. Nonimo

    Vous avez oublié - sauf mauvaise vue de ma part - les 3 conseils de Paris III (Sorbonne Nouvelle), vote du 16 juin 2008.

  • Motions votées par les conseils universitaires

    2 décembre 2007, par castaing

    Je vous joins le lien avec la motion des trois conseils de Paris VIII de juillet 2007
    http://www.univ-paris8.fr/conseils/...

    Cordialement
    François Castaing P8

  • Motions votées par les conseils universitaires

    27 novembre 2007, par Coquelin

    Bonjour,
    je me permets de vous transmettre la motion votée par les trois conseils de l’Université Michel de Montaigne Bordeaux 3 le 10 juillet 2007. Vous pourrez vérifier l’authenticité de cette motion auprès de la secrétaire générale, Madame Claude Gaudy, en la contactant à Claude.Gaudy@u-bordeaux3.fr ou à presidence@u-bordeaux3.fr.
    Bien à vous,
    et merci de votre travail,
    Jean-Yves Coquelin
    MCF à Bordeaux 3,
    élu au CEVU

    MOTION votée en AG des 3 conseils de BORDEAUX 3 le 10 juillet 2007, à l’unanimité moins 4 abstentions.

    L’assemblée des trois Conseils de l’Université de Bordeaux 3 réunie le 10 juillet 2007, estime que le projet de loi sur l’Université n’est pas acceptable en l’état. Il ne prend pas en compte les propositions issues des États Généraux de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur de 2004 et des Assises actuelles.
    Il ne répond pas à la grande réforme de l’ensemble de l’Enseignement Supérieur (Universités et Grandes Ecoles) dont le pays a besoin.
    Au contraire, sans s’attaquer aux problèmes de l’Université, il remet en cause la démocratie collégiale universitaire, et le statut des futurs personnels.
    Il casse le service public de l’enseignement supérieur en instituant des universités à ’plusieurs vitesses’, avec des moyens par étudiant notoirement insuffisants et qui risquent de pénaliser encore davantage les universités de sciences humaines et sociales.
    En ne garantissant pas les financements publics, il entrainera à terme une augmentation importante des droits d’inscription.
    Après la réforme « LMD » réalisée sans référentiel national, il entérine le fait que les diplômes seront avant tout d’université et ne constitueront qu’un produit vis-à-vis d’étudiants-clients.
    En ouvrant la possibilité de remplacer progressivement dans tous les secteurs d’activité les personnels fonctionnaires par des employés sous contrat, il programme la disparition à terme du service public d’enseignement supérieur et de recherche.
    Pour cela, il organise l’université selon des principes d’entreprises qui sont inadaptés à un service public.
    Les trois Conseils de l’Université de Bordeaux 3, représentants des enseignants-chercheurs, personnels IATOS, étudiants et personnalités extérieures, considèrent que le premier problème des universités aujourd’hui est celui des moyens financiers et humains qui leur sont alloués.
    Ils reconnaissent la nécessité d’une réforme en profondeur élaborée dans le cadre d’une concertation que la précipitation actuelle interdit.
    Cette réforme de la gouvernance ne permettra pas de répondre aux grands défis de l’Enseignement Supérieur.
    Les trois Conseils demandent l’ouverture immédiate d’une réelle concertation, et le report de l’examen du projet de loi.

  • Motions votées par les conseils universitaires

    11 juillet 2007, par yann audic

    Bonjour en esperant que cela vous aide, voici un extrait du relevé de décision du CA de l’UNIVERSITE DE RENNES1 (CA du 27 JUIN 2007)
    COrdialement,

    - après avoir largement débattu a adopté une motion (26 pour, 13 contre et 1 abstention)
    Le projet de loi sur l’organisation de la nouvelle Université, qui est actuellement en
    discussion avec le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, est à
    l’origine d’un grand nombre de questions et d’inquiétudes.
    Le C.A. de l’U.R.1 tient particulièrement à marquer sa vive inquiétude quant à
    certains points du projet de loi (qui ne sont pas exhaustifs).
    1. il est indispensable de permettre une réflexion large et approfondie et, pour cela, il
    faut donner du temps aux différents partenaires.
    2. la nouvelle gouvernance doit s’établir en fonction de la taille des établissements et
    non au détriment du respect de l’équilibre entre ceux-ci ni au détriment d’une
    représentation équitable des catégories de personnels et des étudiants.
    3. la politique de gestion des emplois doit s’accompagner de certaines garanties pour
    que les emplois permanents restent occupés par des fonctionnaires d’état dans le
    respect de leurs statuts.
    4. les moyens budgétaires et les ressources humaines affectés à la formation des
    étudiants doivent être rééquilibrés pour que les filières universitaires ne soient plus
    systématiquement défavorisées par rapport aux autres formations post-bac.
    5. les carrières universitaires des enseignants chercheurs et BIATOSS doivent être
    revalorisées et permettre la prise en compte de nouvelles charges et missions.
    6. les commissions de spécialistes remplissent leurs missions et ne peuvent être
    remplacées par un seul comité de sélection.
    Il serait regrettable que ce projet de loi sur l’organisation de la nouvelle université
    ne reçoive pas l’adhésion de l’ensemble des partenaires.

  • Les trois conseils de l’Université des Sciences et Technologies de Lille (Lille 1)

    10 juillet 2007

    L’assemblée des trois Conseils de l’université de Lille1 estime que le projet de loi sur l’université n’est pas acceptable en l’état. Il ne prend pas en compte les propositions issues des États Généraux de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur de 2004 et des Assises actuelles.

    Au contraire, sans s’attaquer aux problèmes de l’Université, il remet en cause la démocratie collégiale universitaire, et le statut des futurs personnels.

    Il casse le service public de l’enseignement supérieur en instituant des universités à ’plusieurs vitesses’ avec des moyens différents par étudiant.

    En ne garantissant pas les financements publics, il entraînera à terme une augmentation importante des droits d’inscription.

    Après la réforme « LMD » réalisée sans référentiel national, il entérine le fait que les diplômes seront avant tout d’université et constitueront un outil marketing vis à vis d’étudiants-clients.

    En ouvrant la possibilité de remplacer progressivement dans tous les secteurs d’activité les personnels fonctionnaires par des employés sous contrat, il programme la disparition à terme du service public
    d’enseignement supérieur et de recherche. Pour cela, il organise l’université selon des principes marchands qui sont inadaptés à un service public.

    Les trois Conseils de l’université de Lille1, représentants des enseignants-chercheurs, personnels IATOS, étudiants, considèrent que le premier problème des universités aujourd’hui est celui des moyens,
    financiers et humains, qui leur sont alloués.

    Cette réforme de la gouvernance ne permettra pas de répondre aux grands défis de l’université. Les trois Conseils demandent l’ouverture immédiate d’une réelle concertation, et le report de l’examen du projet de loi.

    Motion votée le 6 juillet par 40 « pour », 1 « contre », 8 abstentions.

  • Motions votées par les conseils universitaires

    9 juillet 2007, par Bruno Beaufils

    Bonjour,
    Voici la Motion de l’Assemblée des Trois Conseils (CA, CS, CEVU) de l’Université des Sciences et Technologies de Lille (Lille 1) du 6 Juillet 2007

    L’assemblée des trois Conseils de l’université de Lille1 estime que le projet de loi sur l’université n’est pas acceptable en l’état. Il ne prend pas en compte les propositions issues des États Généraux de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur de 2004 et des Assises actuelles.

    Au contraire, sans s’attaquer aux problèmes de l’Université, il remet en cause la démocratie collégiale universitaire, et le statut des futurs personnels.

    Il casse le service public de l’enseignement supérieur en instituant des universités à ’plusieurs vitesses’ avec des moyens différents par étudiant.

    En ne garantissant pas les financements publics, il entraînera à terme une augmentation importante des droits d’inscription.

    Après la réforme « LMD » réalisée sans référentiel national, il entérine le fait que les diplômes seront avant tout d’université et constitueront un outil marketing vis à vis d’étudiants-clients.

    En ouvrant la possibilité de remplacer progressivement dans tous les secteurs d’activité les personnels fonctionnaires par des employés sous contrat, il programme la disparition à terme du service public d’enseignement supérieur et de recherche.
    Pour cela, il organise l’université selon des principes marchands qui sont inadaptés à un service public.

    Les trois Conseils de l’université de Lille1, représentants des enseignants-chercheurs, personnels IATOS, étudiants, considèrent que le premier problème des universités aujourd’hui est celui des moyens — financiers et humains — qui leur sont alloués.

    Cette réforme de la gouvernance ne permettra pas de répondre aux grands défis de l’université.
    Les trois Conseils demandent l’ouverture immédiate d’une réelle concertation, et le report de l’examen du projet de loi.